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L'ombre de l'image : de la falsification à l'infigurable
Edité par Champ vallon. Seyssel - 2003
Collection : L'or d'Atalante
- Type de document
- Livres empruntables
- Langue
- français
- Descr. physique
- 402 p. ; 22 cm
- Sujets
- Note générale
- En appendice, "Interview d'Alexandre Sokurov donnée à Georges Nivat", 28 mai 2001
- Textes de : Bruno-Nassim Aboudrar, Diane Arnaud, Monique Borie, Jean Breschand, Arnaud Bringer, Valérie Deshoulières, Elodie Dulac, Caroline Eades, Murielle Gagnebin, Guillaume Gomot, Steven Jaron, Gérard Leblanc, François Leclercle, Françoise Létoublon, Jean-Louis Leutrat, Suzanne Liandrat-Guigues, Nicolas Lissarrague, Julien Milly, Agnès Minazzoli, Robert Mochkovitch, Michel de M'Uzan, Georges Nivat, Bertrand Revol, Sylvie Rollet, Carole Wrona. Interview d'Alexandre Sokurov.
- Résumé
- Toute image a-t-elle vraiment une ombre? À moins que l’ombre, peinte ou sonore, ne produise une image. Bref, qui, de l’image ou de l’ombre, l’emporte? Ajoutons à cela les multiples clins d’œil, les repentirs iconologiques, les astuces inhérentes au monde du spectaculaire, les présences d’absence habiles à hanter toute œuvre, qu’elle relève de la littérature, de la peinture, de la photographie, du théâtre, ou du cinéma, voire de la psychanalyse. Bref, reprises, transpositions, falsifications, recréations ou, changeons de registre: épure, conquête de l’authentique, les manifestations de l’art ont maille à partir avec l’ombreux qui vite devient tantôt ombrageux, tantôt ombrant! De même les arts de l’empreinte, depuis l’origine du dessin jusqu’à l’horreur d’Hiroshima et ses fulgurances lumineuses susceptibles d’éliminer l’image comme l’ombre, sont-ils toujours en étroite relation avec la mort et l’ineffable? Mais l’infigurable, trace de l’inhumain, ne peut-il aussi se transformer en trop de visible? Voir s’accompagnerait alors de quelque hystérie, capable de retentir sur la part de l’ombre liée à toute figure, sauf celle du vampire, et de faire des marges, des blancs, des silences autant de fragiles demeures, inséparables cependant de la représentation. Donner à voir implique ainsi sûrement un intime partage avec quelque secrète dispense des ombres. C’est ce que l’œuvre du cinéaste Alexandre Sokurov, si familier du langage pictural, confirme, au cours d’un hommage, à sept voix, rendu à son film Élégie de la traversée (2001). Le jeu énigmatique des ombres, spécifique de sa «touche» comme d’un certain traitement de la mélancolie, valorise tantôt le documentaire dans la fiction, tantôt le rêve dans la sèche réalité. La nostalgie, évocatrice de tant d’images, libère, là aussi, des ramifications propres à stimuler un nouvel art de créer, et peut-être même de penser les ombres. (4e de couv.)
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En appendice, "Interview d'Alexandre Sokurov donnée à Georges Nivat", 28 mai 2001
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En appendice, "Interview d'Alexandre Sokurov donnée à Georges Nivat", 28 mai 2001
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Toute image a-t-elle vraiment une ombre? À moins que l’ombre, peinte ou sonore, ne produise une image. Bref, qui, de l’image ou de l’ombre, l’emporte? Ajoutons à cela les multiples clins d’œil, les repentirs iconologiques, les astuces inhérentes au monde du spectaculaire, les présences d’absence habiles à hanter toute œuvre, qu’elle relève de la littérature, de la peinture, de la photographie, du théâtre, ou du cinéma, voire de la psychanalyse. Bref, reprises, transpositions, falsifications, recréations ou, changeons de registre: épure, conquête de l’authentique, les manifestations de l’art ont maille à partir avec l’ombreux qui vite devient tantôt ombrageux, tantôt ombrant! De même les arts de l’empreinte, depuis l’origine du dessin jusqu’à l’horreur d’Hiroshima et ses fulgurances lumineuses susceptibles d’éliminer l’image comme l’ombre, sont-ils toujours en étroite relation avec la mort et l’ineffable? Mais l’infigurable, trace de l’inhumain, ne peut-il aussi se transformer en trop de visible? Voir s’accompagnerait alors de quelque hystérie, capable de retentir sur la part de l’ombre liée à toute figure, sauf celle du vampire, et de faire des marges, des blancs, des silences autant de fragiles demeures, inséparables cependant de la représentation. Donner à voir implique ainsi sûrement un intime partage avec quelque secrète dispense des ombres. C’est ce que l’œuvre du cinéaste Alexandre Sokurov, si familier du langage pictural, confirme, au cours d’un hommage, à sept voix, rendu à son film Élégie de la traversée (2001). Le jeu énigmatique des ombres, spécifique de sa «touche» comme d’un certain traitement de la mélancolie, valorise tantôt le documentaire dans la fiction, tantôt le rêve dans la sèche réalité. La nostalgie, évocatrice de tant d’images, libère, là aussi, des ramifications propres à stimuler un nouvel art de créer, et peut-être même de penser les ombres. (4e de couv.)
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