La Fille de Deauville : roman

Edité par Grasset. Paris - 2022

Collection : Littérature française

Type de document
Romans adultes
Langue
français
Descr. physique
1 vol. (272 p.) ; 21 x 14 cm
Résumé
  • Dans les années 1980, les membres d'Action directe, un groupe de femmes et d'hommes radicalisés ayant opté pour la lutte armée afin de détruire le capitalisme, sont traqués par la police. Luigi Pareno est obsédé par une jeune femme surnommée la Fille de Deauville, Joëlle Aubron de son vrai nom, qu'il observe des rues de Paris à sa cellule de Fleury-Mérogis, en passant par la Belgique et le Loiret. ©Electre 2022
Vérification des exemplaires disponibles ...

Se procurer le document

Suggestions

Du même auteur

Successions : l'argent, le sang et les larmes

Bacqué, Raphaëlle (1964-....). Auteur | Documentaires Adultes | Albin Michel. Paris | 2022

Une enquête journalistique sur les successions dans les grandes entreprises familiales françaises : les Arnault, les Bolloré, les Lagardère, les Pinault, les Bouygues, les Gallimard, les Bettencourt ou encore les Decaux. Elle en m...

L'homme qui voulait être aimé

Kiejman, Georges (1932-....). Auteur | Documentaires Adultes | Grasset. Paris | 2021

Portrait de maître G. Kiejman, défenseur du monde de l'édition et de celui du cinéma. Il retrace son parcours, de l'assassinat de son père à Auschwitz en 1943 à ses premiers pas en tant qu'avocat dans les années 1960, en passant p...

Tu t'appelais Maria Schneider

Schneider, Vanessa (1969-....). Auteur | Romans adultes | Grasset. Paris | 2018

Evocation de l'actrice qui trouva le succès avec le film Le dernier tango à Paris, succès suivi de fêlures et de douleurs. Sa cousine aborde l'histoire de leur famille, la personnalité de celle qu'elle admire, ses rencontres, les ...

Chargement des enrichissements...

Avis

Avis des lecteurs

  • Vanessa Schneider fait revivre avec talent une époque et une trajectoire qui nous paraissent étrangement lointaines, celles des actions terroristes du groupe Action directe dans les années 80. C'est à ce titre qu'il est intéressant, analysant l'engagement politique conduisant à un choix extrême. Mais l'histoire de ce groupe terroriste étant, comme on dit, un roman en soi, fallait-il introduire une telle part de fiction dans le récit? Si le personnage du policier enquêteur est suffisamment romancé pour qu'on devine qu'il a été inventé, j'ai été gêné par le procédé littéraire consistant à se placer dans la tête de Joëlle Aubron, membre réelle d'Action directe, décédée il y a 15 ans seulement. Il y a la liberté de la romancière bien sûr, mais lui donne-t-elle tous les droits ? Je n'ai pas de réponse...

    JEAN-LOUIS P. - Le 28 août 2022 à 18:48